Portefeuille Action climat IG – Équilibré mondial d'actions (série F)

Commentaires sur les portefeuilles
T3 2024

À retenir

① Le portefeuille a progressé au cours du trimestre, car la politique accommodante des banques centrales a profité aux marchés mondiaux des actions et des titres à revenu fixe. 

② Les actions américaines ont le plus contribué au rendement, suivies par les actions EAEO. 

③ L’économie américaine a perdu de la vigueur, mais elle a continué de croître grâce à des catalyseurs positifs. 

Rendement du portefeuille : T3 2024

Rendement total 1 MOIS 3 MOIS DDA 1 AN 3 ANS 5 ANS 10 ANS Depuis la création (25 oct. 2021)

Portefeuille Action climat IG - Équilibré mondial d'actions (série F)

2,00

5,94

16,05

26,41

     

4,80

Quartile

3

2

1

1

       

Aperçu du portefeuille

Les investisseurs ont vécu des émotions fortes durant les poussées de volatilité qui ont ponctué le trimestre, mais les marchés mondiaux des actions et des titres à revenu fixe ont terminé la période en territoire positif. La baisse de taux de 50 points de base décrétée par la Réserve fédérale américaine (la Fed) en septembre et les autres mesures d’assouplissement attendues sont au nombre des facteurs qui ont le plus contribué au rendement des deux catégories d’actif. Par ailleurs, une importante rotation s’est opérée à la tête du marché boursier. De fait, ce sont les secteurs axés sur la valeur, comme les services aux collectivités, qui ont dominé, alors que les titres axés sur la croissance, dont ceux de la technologie de l’information, ont tiré de l’arrière. Ailleurs dans le monde, les nouvelles mesures visant à relancer l’économie chinoise et le ton moins ferme adopté par les autorités japonaises ont aussi renforcé la confiance des investisseurs.  

Les actions des marchés développés ont gagné 6,0 % (indice MSCI EAEO, en $ CA), les actions américaines ont progressé de 4,5 % (indice S&P 500, en $ CA), les actions canadiennes ont bondi de 10,5 % (indice composé S&P/TSX), les obligations mondiales ont avancé de 4,0 % (indice Bloomberg Barclays Global Aggregate Bond, couvert en $ CA), les obligations canadiennes ont augmenté de 4,7 % (indice des obligations universelles FTSE Canada) et les obligations à rendement élevé ont grimpé de 5,0 % (indice ICE BofA U.S. High Yield Bond, couvert en $ CA). 

Le Fonds Leaders de la durabilité Putnam – IG Mandat privé, le Fonds d’actions mondiales Mackenzie Betterworld et le Fonds d’actions canadiennes Mackenzie Betterworld sont ceux qui ont le plus contribué au rendement. Le Fonds Leaders de la durabilité Putnam – IG Mandat privé a généré un rendement supérieur à celui de son indice de référence, grâce à la sélection de titres dans le secteur de la technologie de l’information et à la surpondération du secteur de l’industrie. Le Fonds d’actions mondiales Mackenzie Betterworld a offert un rendement comparable à celui de son indice de référence, en raison de la sélection de titres dans les secteurs de la consommation discrétionnaire et de l’industrie. Le Fonds d’actions canadiennes Mackenzie Betterworld a surpassé son indice de référence, grâce à la sous-pondération du secteur de l’énergie et à la sélection de titres dans les secteurs de la consommation de base et de l’industrie.

Revue des marchés : La reprise des marchés s'est poursuivie et élargie

Les marchés sont passés en mode « prise de risques » au troisième trimestre, en réponse aux changements de politique monétaire dans les principales économies. La Banque du Canada (BdC) et la Banque centrale européenne (BCE) ont été les premières à réduire leurs taux aux deuxième et troisième trimestres. La BdC s’est montrée particulièrement active, en abaissant de nouveau par deux fois son taux directeur de 25 points de base (0,25 %) au cours du trimestre.

La Réserve fédérale des États-Unis (la Fed) a commencé à assouplir sa politique à la mi-septembre par une baisse surprise de 50 points de base (0,50 %), ce qui a donné le signal d’une remontée sur les marchés boursiers et obligataires. La Fed a mentionné une hausse du taux de chômage et a souligné que la lutte contre l’inflation n’était plus une raison essentielle de maintenir une politique monétaire restrictive.

Revue des marchés : La reprise des marchés s'est poursuivie et élargie

Perspectives : La duration devient plus intéressante, mais il est trop tôt pour parier contre les actions

L’équipe de gestion du portefeuille est d’avis que, même si la croissance économique ralentit aux États-Unis et que le marché du travail affiche des signes précoces, mais convaincants, de détérioration, le pays n’en est pas aux premiers stades d’une récession. Les dépenses publiques demeurent élevées, ce qui alimente la croissance, et l’équipe croit que de nouvelles réductions du taux des fonds fédéraux par la Fed pourraient freiner le mouvement à la baisse du marché de l’emploi et de l’économie.  

Compte tenu des perspectives de nouvelles baisses des taux d’intérêt par les banques centrales des pays développés, l’équipe estime que l’exposition à la duration (sensibilité aux taux d’intérêt) devient plus avantageuse. En raison des valorisations élevées des actions mondiales, l’équipe préconise une diversification vers des marchés moins chers bénéficiant de catalyseurs économiques positifs, comme l’Europe et l’Asie. L’équipe estime qu’il est essentiel de conserver une bonne diversification de l’actif du portefeuille pour gérer le risque et favoriser la stabilité financière à long terme. 

Si vous avez des questions sur votre stratégie de placement,
parlez à votre conseiller ou conseillère IG.