Le Portefeuille fondamental IG – Équilibré Croissance a progressé de 0,6 % pendant le premier trimestre de 2025, principalement en raison de la performance robuste des actions européennes. Il a inscrit un rendement légèrement supérieur au rendement médian du groupe de comparaison Équilibrés mondiaux d’actions (0,0 %).
Les marchés des actions et des titres à revenu fixe ont été contrastés. Pour ce qui est des marchés boursiers, l’indice S&P 500 (rendement total de -4,6 %, en $ CA) et l’indice composé S&P/TSX au Canada (rendement total de 2,0 %) ont établi de nouvelles marques avant de plonger à cause de la saga des droits de douane, qui a fait grimper l’incertitude relative aux politiques économiques à un niveau inégalé depuis plusieurs années et, aux yeux de nombreux prévisionnistes, fortement accentué le risque de récession aux États-Unis et au Canada. L’indice de rendement total MSCI EAEO (net, en $ CA) a augmenté de plus de 7 %, les actions européennes ayant inscrit un rendement nettement supérieur à celui des actions nord-américaines. Au Canada et aux États-Unis, les obligations ont pour la plupart augmenté, les taux ayant reculé, tandis qu’en Europe et dans la région Asie-Pacifique, les obligations ont suivi une tendance baissière et affiché des rendements inférieurs à ceux des obligations nord-américaines.
Les composantes en actions européennes (le Fonds d’actions européennes IG Mackenzie et le Fonds d’actions européennes moyenne capitalisation IG Mackenzie) ainsi que le Fonds en gestion commune d’actions internationales BlackRock – IG, qui détient une importante exposition à l’Europe, ont procuré les meilleurs rendements. Le Fonds en gestion commune d’actions internationales BlackRock – IG a inscrit le meilleur rendement. Les données économiques européennes ont de manière générale surpassé les attentes au cours de la période. La Banque centrale européenne, la Banque d’Angleterre et la Banque nationale suisse ont toutes réduit leurs taux d’intérêt. Les changements politiques récents, en particulier les élections en Allemagne, ont donné lieu à des politiques budgétaires plus énergiques, destinées à soutenir la croissance économique. La plupart des autres composantes en actions (non américaines), ainsi que le Fonds en gestion commune de répartition active BlackRock – IG, ont enregistré des gains modestes. Étant la plus importante composante du portefeuille, le Fonds en gestion commune de répartition active BlackRock – IG a le plus contribué au rendement global.
Les composantes en actions américaines (le Fonds en gestion commune d’actions américaines T. Rowe Price – IG, le Fonds en gestion commune d’actions américaines Mackenzie – IG, le Fonds d’opportunités de moyennes capitalisations américaines Mackenzie et le Fonds en gestion commune d’actions américaines petite capitalisation Aristotle – IG), qui représentent ensemble plus du quart du portefeuille, ont toutes reculé et nui au rendement. Le Fonds en gestion commune d’actions américaines petite capitalisation Aristotle – IG a inscrit le pire rendement. D’autres composantes qui présentent une exposition importante aux actions américaines (le Fonds de couverture d’actions Mackenzie – IG Mandat privé et le Fonds de couverture d’actions mondiales Wellington – IG Mandat privé) ont également reculé.
Au sein de la composante en titres à revenu fixe du portefeuille, c’est le Fonds en gestion commune d’obligations canadiennes Mackenzie – IG qui a le plus contribué au rendement, en partie en raison de sa pondération dans le portefeuille. Le Fonds d’obligations souveraines Mackenzie a été la plus performante des composantes en titres à revenu fixe, mais son effet sur le rendement global a été limité en raison de sa pondération inférieure. Les composantes du portefeuille axées sur les obligations de sociétés de première qualité et les obligations mondiales ont aussi contribué au rendement relatif, tandis que les composantes à rendement élevé (notamment le Fonds en gestion commune à revenu élevé Putnam – IG et le Fonds de revenu à taux variable IG Mackenzie), plus sensibles aux risques accrus de récession, ont progressé, mais tiré de l’arrière par rapport au marché des titres à revenu fixe en général.