Le trimestre a été très profitable pour les investisseurs boursiers. L’indice S&P 500 a atteint plusieurs sommets historiques en juin, entraîné par un secteur de la technologie de l’information toujours en plein essor. Des signes d’un ralentissement de l’économie américaine et des chiffres d’inflation moins élevés ont réduit les chances, déjà faibles, de nouvelles hausses des taux d’intérêt par la Réserve fédérale américaine (la Fed). La résilience de l’économie américaine doublée de la perspective d’un atterrissage en douceur aux États-Unis a aussi aidé à propulser les marchés boursiers étrangers. Dans ce contexte économique et boursier, le Fonds en dollars US IG Mackenzie – Actions mondiales a produit un rendement positif.
Le Fonds a ajouté de la valeur par rapport à son indice de référence de plusieurs façons. La sélection des titres de la technologie de l’information aux États-Unis et à Taïwan a ajouté presque 100 pdb au rendement. L’exposition nulle aux actions canadiennes a aussi soutenu le rendement, puisque le Canada a été l’un des rares marchés boursiers à afficher des résultats négatifs durant le trimestre. La détérioration rapide du marché de l’emploi au Canada pourrait expliquer la dernière position de l’économie canadienne au premier semestre de 2024 sur le plan du rendement.
De plus, la couverture complète des positions en dollars américains du Fonds a contribué au rendement, principalement en raison de la dépréciation de l’euro et du yen par rapport au billet vert.
À l’inverse, la sélection des actions françaises et leur surpondération ont nui à la performance du Fonds par rapport à son indice de référence.