Une assurance lorsqu’on a le cancer

Le cancer est dévastateur et pas que physiquement et émotivement… il peut aussi menacer votre sécurité financière. Voici comment protéger les membres de votre famille et vous-même.

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On connaît tous au moins une personne qui a dû combattre le cancer au cours de sa vie. Et le risque que vous ayez aussi à le faire est élevé.

Selon la Société canadienne du cancer, 49 % des Canadiens et 45 % des Canadiennes seront atteints de cette maladie au cours de leur vie. Bien que les avancées de la médecine permettent à un nombre croissant de personnes de la vaincre, la convalescence peut être difficile et coûteuse.

Un rapport de la Société canadienne du cancer a révélé que de nombreux patients devaient payer de leur poche des coûts importants pour les soins, le transport entre l’hôpital et la maison, l’hébergement s’ils doivent se rendre dans une autre province pour recevoir des traitements, les médicaments achetés à la pharmacie et, dans le cas de jeunes parents, la garde de leurs enfants. Et c’est sans compter tous les frais connexes qui s’ajoutent à cette liste.

De nombreux patients payent de leur poche des coûts importants pour les soins, le transport entre l’hôpital et la maison, l’hébergement s’ils doivent se rendre dans une autre province pour recevoir des traitements, les médicaments achetés à la pharmacie et, dans le cas de jeunes parents, la garde de leurs enfants.

La perte de salaire a aussi un impact majeur sur les finances, particulièrement pour ceux qui ne touchent pas de prestation d’invalidité. Lorsqu’on gagne 100 000 $ par année et qu’on est soudainement privé de ce montant, on peut rapidement se retrouver en situation d’endettement.

Selon Heather Clarke, vice-présidente des services d’assurance du Groupe Investors, il y a une façon de protéger ses finances contre les répercussions d’un cancer.

« Il s’agit de l’assurance maladies graves. Elle pourrait vous aider à maintenir un équilibre financier si vous deviez vous absenter du travail en raison d’une maladie grave », explique-t-elle.

Ce type de protection fonctionne de la même manière que les autres assurances : vous payez des primes aussi longtemps que vous êtes en santé, mais si vous tombez malade, vous recevrez une indemnité forfaitaire non imposable.

Bien que cette protection couvre un grand nombre de maladies graves, comme les crises cardiaques et les AVC, la plupart des demandes sont présentées pour des cas de cancer. Un rapport de l’Institut canadien des actuaires révèle que, depuis 1994, 68 % des indemnités pour ce type d’assurance sont versées pour des cas de cancer.

Le montant de l’indemnité varie énormément selon les primes mensuelles payées et l’argent que chaque personne estime avoir besoin pendant cette période difficile, mais c’est généralement au cours des premiers mois qui suivent le diagnostic que les besoins sont les plus pressants.

« Cette étape est toujours difficile émotionnellement et physiquement, à cause du traumatisme et des frais qui s’accumulent. C’est à ce moment que la protection d’assurance maladies graves est le plus appréciée », estime Mme Clarke.

Ce n’est que 30 jours après le diagnostic qu’on peut toucher cette indemnité forfaitaire, mais une fois qu’elle est versée, on peut l’utiliser comme bon nous semble.

« Que ce soit pour payer ses frais médicaux, pallier les pertes salariales, rembourser son hypothèque, engager un infirmier ou un aidant, ou encore adapter son domicile ou son véhicule à un fauteuil roulant ou un élévateur. La décision revient à chacun », poursuit Mme Clarke.

Cette assurance peut aussi être utile pour les propriétaires de petite entreprise.

« Elle peut faciliter le remboursement de prêts commerciaux, le paiement des frais courants et même l’embauche de remplaçants pendant la convalescence », explique Mme Clarke.

Si le cancer venait à frapper, l’assurance maladies graves pourrait vous aider à vous concentrer sur votre rétablissement, et à éviter les distractions et les soucis causés par les frais supplémentaires.

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